((Traduction automatisée par Reuters à l'aide de l'apprentissage automatique et de l'IA générative, veuillez vous référer à l'avertissement suivant: https://bit.ly/rtrsauto)) par Isla Binnie
Carlyle CG.O a levé 9 milliards de dollars pour son dernier fonds immobilier américain, a déclaré le groupe d'investissement à Reuters lundi, ce qui lui donne un record de collecte de fonds à déployer dans les terrains et les bâtiments, au milieu des signes timides de reprise dans certaines parties du secteur.
Ces dernières années, de nombreux gestionnaires d'actifs ont eu du mal à convaincre leurs bailleurs de fonds, parmi lesquels des fonds de pension et d'autres grandes institutions financières, d'investir dans l'immobilier, alors que le marché digérait des facteurs tels que la baisse de la demande d'immobilier commercial et de bureaux à la suite de la pandémie de COVID.
Le montant des capitaux privés levés au niveau mondial pour des investissements immobiliers a chuté en 2024 à 131 milliards de dollars, son niveau le plus bas depuis 2012, mais il a commencé à rebondir cette année, principalement sous l'effet de quelques très grosses levées de fonds, d'après les données du PEI Group.
Malgré ce contexte, le dixième fonds de ce type de Carlyle a dépassé les 8 milliards de dollars levés pour son prédécesseur en 2021.
Rob Stuckey, responsable de l'immobilier américain chez Carlyle, a déclaré que les investisseurs avaient engagé des fonds dans "l'un des environnements de collecte de fonds les plus difficiles de mémoire récente pour l'immobilier."
Comme les deux derniers fonds, celui-ci ne sera pas exposé aux bureaux, aux hôtels ou aux commerces traditionnels. Rob Stuckey a déclaré qu'il souhaitait "éviter les zones structurellement difficiles." À la place, Carlyle placera les nouveaux fonds dans les secteurs résidentiel, du self-stockage et de l'industrie.
"C'est le moment idéal pour investir, car nous constatons une amélioration des fondamentaux dans nos secteurs cibles", a-t-il déclaré, ajoutant qu'il y avait moins de liquidités - c'est-à-dire moins d'acheteurs ou de sources de capitaux pour les actifs - sur le marché, ce qui présentait également un avantage.
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